Câest un achat concret, qui donne une assise à un patrimoine familial. Depuis plusieurs générations, les familles se transmettent des biens immobiliers dont la valeur a parfois grimpé de façon proprement hallucinante.
Câest un moyen de capitaliser et de devenir indépendant.
Ainsi, un appartement acheté dans une banlieue limitrophe de Paris peut avoir été acquis pour quelques dizaines de milliers dâeuros et valoir aujourdâhui plus de 10 fois son prix dâachat initial.
Le besoin de logements sâétend, et la valeur des pierres a atteint aujourdâhui un plafond que lâon ne pouvait imaginer. 15000⬠du mètre carré, dans certains quartiers de Paris.
La disparité des zones en France
Mais tout le monde ne peut pas revendiquer une telle embellie. Dans cette période où tout le monde prédit et espère une baisse des prix de lâimmobilier, certaines régions sont plus touchées que dâautres.
Aussi, quand les médias font leurs grands titres sur la baisse des prix de lâimmobilier, il convient de dissocier le marché des grandes villes et celui de la France rurale.
Acheter aujourdâhui câest la possibilité de mettre en location un appartement que lâon réserve pour ses enfants, ou dâhabiter un appartement, dont le loyer, reversé à la banque, correspond à un investissement, plutôt quâà une dépense à fonds perdus.
La variété d’acquisition
Pour se loger à Paris, ou dans les grandes villes, il est souvent difficile dâaccéder aux biens que lâon convoite.
Certains se rabattent donc sur les annonces immobilières de la proche banlieue ou des régions alentour.
Depuis quelques années, on achète aussi des appartements de vacances, que lâon pourra rentabiliser en les louant à la semaine.
De bonnes affaires plus difficile à trouver
Face aux impayés, aux locataires indélicats, et à la législation française sans cesse plus rigoriste, les français continuent cependant de réaliser des transactions immobilières dans le but de sécuriser leur patrimoine.
La réputation de lâachat immobilier, un placement de père de famille, rentable et à moindre risque, continue de séduire les petits investisseurs.
Le temps des belles plus-values est définitivement révolu, mais pour ceux qui savent les dénicher, il reste encore de belles affaires à faire.